Les fichiers enquêtes :
Notre équipe d'enquêteurs et de rédacteurs bénévoles travaillent nuits et jours sur leurs enquêtes.
Ils vous en livrent les différents éléments au fur et à mesure de l'avancée de leurs recherches.
N'hésitez pas à consulter régulièrement les mises à jour ou abonnez-vous pour vous tenir informé.
Actuellement, il y a 11 enquêtes en cours...
Vous pouvez faire avancer les recherches ou nous
faire parvenir vos idées d'enquêtes en nous
envoyant vos informations ici.
Si vous le désirez, vous pouvez nous rejoindre pour
devenir rédacteur ou enquêteur bénévole.
La liberté de la presse.
La pilule a du mal à passer chez les médias. Alors que certains pensent "qu'ils sont tous pourris",
en coulisse, les journalistes subissent la censure et s'insurgent auprés de leurs syndicats.
Nous vous proposons une publication du Syndicat National des Journalistes qui vous éclairera
sûrement.
- Télévision Française, Attention au crash éditorial pendant la crise sanitaire !
- La liberté de la presse en France par RSF.
Paris, Le 09 Avril 2020.
Communiqués des sections France Télévisions« Mission de service public » : avec la crise sanitaire liée au coronavirus Covid-19, les communiqués de la direction de France Télévisions multiplient les références à ce terme. Mais entre la communication et la réalité de ce que nous vivons dans l’entreprise, il y a un gouffre. En témoignent la ligne éditoriale de certaines éditions, la déontologie, les pratiques professionnelles et les outils mis en œuvre.
La direction de l’information assume la ligne éditoriale qu’elle a fixée. Il s’agit pourtant trop souvent d’un discours unique et formaté, relayant la communication gouvernementale. Les éditions nationales de JT, en particulier le 20h de France 2, sont transformées en un interminable défilé de ministres et responsables politiques LREM. Le tout avec un rappel permanent et moralisateur à la solidarité et à la responsabilité individuelle de chaque citoyen.
Mais rien, ou si peu, sur les responsabilités et devoirs du pouvoir politique. Aucune mise en perspective des faits : pourquoi avoir négligé pendant des mois les grévistes de l’hôpital public, qui réclamaient des moyens supplémentaires ? Fallait-il organiser le premier tour des municipales ? Le gouvernement a-t-il sous-estimé les alertes ?
Les occasions d’enrichir l’offre éditoriale, de proposer une mise en perspective et de garantir le pluralisme des idées sont nombreuses, même en période de crise :
► Des citoyens, des syndicats, des associations, s’inquiètent des risques de dérives de l’État démocratique, au travers des pleins pouvoirs accordés au ministère de l’Intérieur et à de possibles contrôles à distance des déplacements. Ces interrogations n’ont que peu d’écho dans nos JT.
► Des hôpitaux ouvrent des cagnottes en ligne pour récolter des fonds et améliorer le quotidien des patients et des soignants. En France, un des pays les plus riches au monde, comment un pouvoir politique a-t-il pu faillir au point d’obliger l’hôpital public à faire appel à la générosité des citoyens ?
► Comment est vécue la crise sanitaire par les Français ultramarins ? Quels sont les problèmes spécifiques de ces territoires ?
► Pourquoi d’autres pays ont-ils choisi une politique différente pour les tests de dépistage et l’utilisation des masques ?
► Retour sur les discours économiques présentés (parfois sur nos plateaux) comme « réalistes » et « indispensables » et qui préconisent depuis des années la diminution des moyens alloués au service public et notamment aux hôpitaux. Bref, comment en est-on arrivés là…
► Etc.
Certes, tous ces débats sont de plus en plus présents, en particulier dans les éditions numériques de France Télévisions, grâce à la diversité des rédactions qui les animent. Le contraste entre cette richesse éditoriale et la parole unique des éditions nationales des JT n’en est que plus incompréhensible. Le travail journalistique est plus que jamais indispensable. Le respect des règles déontologiques aussi. Reprenant un message diffusé sur les réseaux sociaux, sans recouper suffisamment l’information, France 3 Occitanie a affirmé qu’un homme de 48 ans était décédé brutalement du Covid-19 .
Ce n’était pas le cas.
Personne n’est à l’abri d’une erreur, surtout quand les conditions de travail sont compliquées en raison du confinement. Mais rien n’excuse l’absence d’une vraie rectification de l’information vis-à-vis de notre public. Est inacceptable aussi le comportement de l’encadrement qui choisit d’étouffer l’affaire et de s’en prendre aux « lanceurs d’alerte », dont un représentant du SNJ. Enfin, depuis le début de la crise sanitaire, les journalistes et les équipes de reportage font preuve d’ingéniosité. Quitte à diffuser des sujets à la qualité d’images et de son dégradée, en raison de l’utilisation de visioconférences ou de smartphones. C’est tout à leur honneur d’accomplir par tous les moyens leur mission. Mais que la direction ne s’y trompe pas. Le SNJ la met en garde contre la tentation de perpétuer ces pratiques au-delà de la crise sanitaire. Car il s’agit bien d’un mode « dégradé » qui n’en sera que plus flagrant et inacceptable une fois la crise terminée. Le « jour d’après », il serait également irresponsable de la part de la direction de France Télévisions de perpétuer ses mauvaises habitudes antérieures : casse des métiers et des pratiques professionnelles, management brutal, chasse aux CDD, etc.
Nous, journalistes et salariés de France Télévisions, assumons pleinement nos missions de service public. Nous prenons même des risques pour le faire. Nous attendons donc de notre direction qu’elle agisse enfin dans ce sens.
Source: http://www.snj.fr/article/attention-au-crash-%C3%A9ditorial-pendant-la-crise-sanitaire-1438292806
Le 16 Juin 2020.
France, terre de liberté !
Reporters Sans Frontière (RSF) est une Organisation Non Gouvernementale (ONG) bien connue pour la défense de la liberté de la presse.
Tous les ans, ils publient un
classement mondial de la libeté de la presse.
Cette année encore, la France fait grise mine, elle n'est classée qu'en 34éme position.
Le soja en France
"Agriculteurs, agricultrices, le moment est propice pour investir dans le soja."
Nous sommes le 17 Avril, et cette publicité tourne en boucle sur les radios locales.

La résistance
En France, les mouvements de résistance furent unifiés en 1943 dans le Conseil National
de la Résistance. En 2020, de nouvelles formes de résistance apparaissent...
- Juin 2020, le temps de la résistance !
- Sauvegarder la République
- Les déclarations des droits de l'Homme et du citoyen
Le 2 Juin 2020.
N'attendez pas ici un cours sur la Résistance, je vous invite pour celà à vous plonger dans votre bon vieux Larousse papier, vous y trouverez une mine de renseignements plus intéressants les uns que les autres.
Allons à l'essentiel ! Le chef de l'état Français, Emmanuel Macron, a déclaré une guerre contre un envahisseur microscopique. Et comme l'envahisseur met du temps à se rendre, nous voyons apparaître ça et là différentes formes de luttes. Certains se camouflent, d'autres s'entraident, et la plupart s'interrogent. Parmi ceux-là, des regroupements de résistance voient le jour. Et contre toute attente, ce n'est pas contre l'envahisseur invisible que certains se rebellent, mais bien contre celui-là même qui a déclaré la guerre.
Je vous parlerez tout d'abord d'un collectif d'auteurs, medecins, économistes, historien(nes), etc... qui vous proposent un livre
" RÉSISTONS Ensemble, pour que renaissent des jours heureux" préfacé par Denis Robert, journaliste.
Vous pouvez vous procurer ce livre gratuitement chez son éditeur au format numérique sur le lien suivant :
https://massot.com/collections/resistons-ensemble-pour-que-renaissent-des-jours-heureux/
Collectif d'auteurs:
Claude Alphandéry, Sabrina Ali Benali, Ludivine Bantigny, Clotilde Bato, Anne Beaumanoir, Brigitte Boréale,
François Boulo, Dominique Bourg, Juan Branco, Valérie Cabanes, Aymeric Caron, Hugues Charbonneau, Pauline Londeix et Jérôme Martin,
Samuel Churin, Alain Damasio, Cyril Dion, Marc Eichinger, Bernard Friot, Bruno Gaccio, Caroline Guy, en collaboration avec
Julien Le Provost et Héloïse Pierre, Yannick Kergoat, Philippine Leroy Beaulieu, Priscillia Ludosky, Virginie Martin, Florent Massot,
Dominique Méda, Raymond Millot, Julie Moulier, Agnès Naudin, Fabrice Nicolino, Fatima Ouassak, Antoine Peillon, Benoît Piédallu, Thomas Piketty,
Monique et Michel Pinçon-Charlot, Régis Portalez, Denis Robert, Coline Serreau, Pablo Servigne, Pacôme Thiellement, Marie Toussaint.
Leonardo C.
Le 14 Décembre 2020.
Depuis son apparition en 1792, la République Française a souvent souffert de la faiblesse des Hommes. Il est fort utile, en des temps incertains comme nous le vivons actuellement,
de se rappeler notre Histoire.
La vie n'est pas un long fleuve tranquille, et pour arriver jusqu'à la 5éme Répubique, les Français ont dû se battre constamment pour acquérir et surtout conserver leurs droits.
C'est ainsi que la 1ére République ne survie que 12 ans avant de revoir revenir un déspote au pouvoir, Napoléon Bonaparte, qui s'auto-proclame Empereur.
En 1815, avec la chute du Premier Empire, la République timide se voit voler sa place face à une Monarchie Constitutionnelle. Et effectivement, le roi remis en place ne vas pas
tarder à resserrer la vis du pouvoir.
En 1824, Charles X succède à son frère et souhaite le retour à la monarchie absolue. Il réduit les libertés et censure la presse.
En réaction à une décision du roi de gouverner par ordonnance, le peuple Parisien se révolte lors des Trois Glorieuses les 27, 28 et 29 Juillet 1830. Des barricades sont dressées à Paris, les affrontements feront environ un millier de mort.
La monarchie reprend tranquillement avec Louis Philippe, qui malgrés sa bon mine et ses fausses bonnes intentions, tente lui aussi un retour au pouvoir monarchique. A partir de 1835,
il restreint de plus en plus les libertés et adopte une politique de plus en plus autoritaire. Le pays est frappé par une crise économique alors que la grande bourgeoisie s'enrichie.
Les ouvriers vivent dans la misère et réclament des réformes sociales mais le gouvernement ignore leurs demandes. Au contraire, il limite la liberté de la presse et interdit les manifestations.
Le mécontentement grandit...
Celà ne vous rappelle rien ?
La République doit se défendre sans cesse car l'avidité et la cupidité des Hommes est sans limites.
En 1848, malgré l'interdiction de manifester, le peuple parisien descend dans la rue le 22 février pour exiger plus de libertés. Ce mouvement de contestation est durement réprimé, l'armée tuant une vingtaine de personnes. La révolte s'amplifie et le roi Louis-Philippe est contraint de fuir. La 2éme République est proclamée.
Une trace de l'histoire nous laisse ce document adressé aux citoyens de Paris par le président de la commission municipale de La Ferté-Bernard en 1848 :
« Citoyens de Paris, deux fois en 17 ans vous avez sauvé la liberté du monde...
Honneur à vous ! Comme en 1830, trois jours ont suffi pour renverser un pouvoir hypocrite et parjure. Que la France vous soit reconnaissante ! Trois jours ont suffi comme en 1830, pour faire triompher la cause du droit, de la justice, et de l'humanité.»
Mais voilà, les espoirs s'envolent ! La 2éme République ne durera que 4 ans et est vite rattrapée par le plus noir des dictateurs, Louis-Napoléon Bonaparte qui décide, aprés avoir été élu par le peuple de France comme le 1er président de la République, d'un commun accord avec lui-même, de rester au pouvoir sous un régime trés autoritaire où les libertés sont remises en causes et la presse est censurée.
Vicor Hugo est contraint à l'exil durant 20 ans pour s'opposer à l'empereur. Il laissera cette proclamation à l'armée le 3 décembre 1851, à méditer :
« Un homme vient de briser la Constitution, il déchire le serment qu'il avait prêté au peuple, supprime la loi, étouffe le droit, ensanglante Paris, trahit la République. »
Il s'ensuit 18 ans de dictature...
Charles B..
Le 15 Décembre 2020.
« Les Représentants du Peuple Français, constitués en Assemblée Nationale, considérent que l'ignorance, l'oubli ou le mépris des droits de l'Homme sont les seules causes des malheurs publics et de la corruption des Gouvernements... »
Préambule à la déclaration des droits de l'Homme et du Citoyen de 1789.
A. Les origines :
Depuis le 4 juillet 1776, Thomas Jefferson a émis les préceptes fondamentaux du bien et de la sauvegarde de l'humanité. Ce n'est que 13 ans plus tard que la France se targue d'être le défenseur des droits universels, à la suite de ce que l'histoire retiendra comme La Révolution Française de 1789.
Aujourd'hui, la déclaration des droits de l'Homme et du citoyen de 1789 fait encore office en terme de législation. La voici :
Les Représentants du Peuple Français, constitués en Assemblée Nationale, considérant que l'ignorance, l'oubli ou le mépris des droits de l'Homme sont les seules causes des malheurs publics et de la corruption des Gouvernements, ont résolu d'exposer, dans une Déclaration solennelle, les droits naturels, inaliénables et sacrés de l'Homme, afin que cette Déclaration, constamment présente à tous les Membres du corps social, leur rappelle sans cesse leurs droits et leurs devoirs ; afin que les actes du pouvoir législatif, et ceux du pouvoir exécutif, pouvant être à chaque instant comparés avec le but de toute institution politique, en soient plus respectés ; afin que les réclamations des citoyens, fondées désormais sur des principes simples et incontestables, tournent toujours au maintien de la Constitution et au bonheur de tous.
En conséquence, l'Assemblée Nationale reconnaît et déclare, en présence et sous les auspices de l'Etre suprême, les droits suivants de l'Homme et du Citoyen.
Art. 1er. Les hommes naissent et demeurent libres et égaux en droits. Les distinctions sociales ne peuvent être fondées que sur l'utilité commune.
Art. 2. Le but de toute association politique est la conservation des droits naturels et imprescriptibles de l'Homme. Ces droits sont la liberté, la propriété, la sûreté, et la résistance à l'oppression.
Art. 3. Le principe de toute Souveraineté réside essentiellement dans la Nation. Nul corps, nul individu ne peut exercer d'autorité qui n'en émane expressément.
Art. 4. La liberté consiste à pouvoir faire tout ce qui ne nuit pas à autrui : ainsi, l'exercice des droits naturels de chaque homme n'a de bornes que celles qui assurent aux autres Membres de la Société la jouissance de ces mêmes droits. Ces bornes ne peuvent être déterminées que par la Loi.
Art. 5. La Loi n'a le droit de défendre que les actions nuisibles à la Société. Tout ce qui n'est pas défendu par la Loi ne peut être empêché, et nul ne peut être contraint à faire ce qu'elle n'ordonne pas.
Art. 6. La Loi est l'expression de la volonté générale. Tous les Citoyens ont droit de concourir personnellement, ou par leurs Représentants, à sa formation. Elle doit être la même pour tous, soit qu'elle protège, soit qu'elle punisse. Tous les Citoyens étant égaux à ses yeux sont également admissibles à toutes dignités, places et emplois publics, selon leur capacité, et sans autre distinction que celle de leurs vertus et de leurs talents.
Art. 7. Nul homme ne peut être accusé, arrêté ni détenu que dans les cas déterminés par la Loi, et selon les formes qu'elle a prescrites. Ceux qui sollicitent, expédient, exécutent ou font exécuter des ordres arbitraires, doivent être punis ; mais tout citoyen appelé ou saisi en vertu de la Loi doit obéir à l'instant : il se rend coupable par la résistance.
Art. 8. La Loi ne doit établir que des peines strictement et évidemment nécessaires, et nul ne peut être puni qu'en vertu d'une Loi établie et promulguée antérieurement au délit, et légalement appliquée.
Art. 9. Tout homme étant présumé innocent jusqu'à ce qu'il ait été déclaré coupable, s'il est jugé indispensable de l'arrêter, toute rigueur qui ne serait pas nécessaire pour s'assurer de sa personne doit être sévèrement réprimée par la loi.
Art. 10. Nul ne doit être inquiété pour ses opinions, même religieuses, pourvu que leur manifestation ne trouble pas l'ordre public établi par la Loi.
Art. 11. La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l'Homme : tout Citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement, sauf à répondre de l'abus de cette liberté dans les cas déterminés par la Loi.
Art. 12. La garantie des droits de l'Homme et du Citoyen nécessite une force publique : cette force est donc instituée pour l'avantage de tous, et non pour l'utilité particulière de ceux auxquels elle est confiée.
Art. 13. Pour l'entretien de la force publique, et pour les dépenses d'administration, une contribution commune est indispensable : elle doit être également répartie entre tous les citoyens, en raison de leurs facultés.
Art. 14. Tous les Citoyens ont le droit de constater, par eux-mêmes ou par leurs représentants, la nécessité de la contribution publique, de la consentir librement, d'en suivre l'emploi, et d'en déterminer la quotité, l'assiette, le recouvrement et la durée.
Art. 15. La Société a le droit de demander compte à tout Agent public de son administration.
Art. 16. Toute Société dans laquelle la garantie des Droits n'est pas assurée, ni la séparation des Pouvoirs déterminée, n'a point de Constitution.
Art. 17. La propriété étant un droit inviolable et sacré, nul ne peut en être privé, si ce n'est lorsque la nécessité publique, légalement constatée, l'exige évidemment, et sous la condition d'une juste et préalable indemnité.
B. La légitimité:
Notre vie est donc régie par ce texte datant de 1789. Or, il apparait dans l'Histoire, deux changements majeurs qui feront date, mais que les législateurs ne retiendront que peu.
Effectivement, trés rapidement, en 1793, lors de l'apparition de la 1ére République, ces droits fondamentaux qui régissent les lois et l'existances des humains d'aujourd'hui vont être transformés dans un esprit de justice et de préservation des droits du peuple face au despotisme.
La déclaration de l'Homme et du citoyen de 1793 marque un tournant révolutionnaire mais ne restera dans l'Histoire qu'en préambule de la constitution du 6 messidor an I (ou 24 juin 1793).
Bien qu'abrogé trés peu de temps aprés( et pour cause, la 1ére République ne durera que peu de temps avant de se voir dévorer par l'Empire de Napoléon), ce texte est primordial dans le droit des peuple et la justice. Bien sûr, il n'est pas reconnu de nos jour par notre droit.
Voici quelques articles, extraits de ce que pourrait être notre existence :
Article Premier : Le but de la société est le bonheur commun. Le gouvernement est institué pour garantir à l'homme la jouissance de ses droits naturels et imprescriptibles.
Art. 2: Ces droits font l'égalité, la liberté, la sûreté, la proptiété.
Art. 3: Tous les hommes sont égaux par la nature et devant la loi.
Art. 7: Le droit de manifester sa pensée et ses opinions,soit par la voie de la presse, soit de tout autre manière,le dtroit de s'assembler paisiblement, le libre exercice des cultes, ne peuvent être interdits.
Art. 9: La loi doir protéger la liberté publique et individuelle contre l'oppression de ceux qui gouvernent.
Art. 35: Quand le gouvernement viole les droits du peuple, l'insurection est pour le peuple et pour chaque portion du peuple, le plus sacré des droits et le plus indispensable des devoirs.
Posons-nous la question : pourquoi la notion fondamental de bonheur de l'être humain, posé ici dans l'Article Premier, n'a été conservé qu'en préambule dans les textes actuels ?
L'article 35 aurait pu garantir un contre pouvoir impérieux et puissant...
C. La paix pour l'Humain ?
« A LA GUERRE !, crièrent-ils tous en coeur.
- Mais non, n'y allez pas, leur rétorqua Jean Jaures. »
Et pan ! un de moins...
Quelques temps plus tard.
« Allez on r'met ça !
- Oh non ! encore ? »
Et re pan ! deux de moins...
Cette fois, s'en était trop ! Trop de guerres, trop de massacres, trop de morts. Alors, ils firent un pacte sur les cendres de leurs aïlleuls. Le 24 octobre 1945, ils édifièrent l’Organisation des Nations Unies, plus connu aujourd'hui sous l'acronyme d'ONU. Mais il ne fallait pas s'arrêter en si bon chemin, et ennivrés de leurs terreurs et de leur bonhommie naissante, ils ratifièrent la paix mondiale sous le joli pseudonyme de Déclaration UNIVERSELLE des droits de l'Homme :
Considérant que la reconnaissance de la dignité inhérente à tous les membres de la
famille humaine et de leurs droits égaux et inaliénables constitue le fondement de la
liberté, de la justice et de la paix dans le monde,
Considérant que la méconnaissance et le mépris des droits de l'homme ont conduit
à des actes de barbarie qui révoltent la conscience de l'humanité et que l'avènement
d'un monde où les êtres humains seront libres de parler et de croire, libérés de la
terreur et de la misère, a été proclamé comme la plus haute aspiration de l'homme,
Considérant qu'il est essentiel que les droits de l'homme soient protégés par un
régime de droit pour que l'homme ne soit pas contraint, en suprême recours, à la
révolte contre la tyrannie et l'oppression,
Considérant qu'il est essentiel d'encourager le développement de relations amicales
entre nations,
Considérant que dans la Charte les peuples des Nations Unies ont proclamé à
nouveau leur foi dans les droits fondamentaux de l'homme, dans la dignité et la
valeur de la personne humaine, dans l'égalité des droits des hommes et des
femmes, et qu'ils se sont déclarés résolus à favoriser le progrès social et à instaurer
de meilleures conditions de vie dans une liberté plus grande,
Considérant que les Etats Membres se sont engagés à assurer, en coopération avec
l'Organisation des Nations Unies, le respect universel et effectif des droits de
l'homme et des libertés fondamentales,
Considérant qu'une conception commune de ces droits et libertés est de la plus
haute importance pour remplir pleinement cet engagement,
L'Assemblée générale
Proclame la présente Déclaration universelle des droits de l'homme comme l'idéal
commun à atteindre par tous les peuples et toutes les nations afin que tous les
individus et tous les organes de la société, ayant cette Déclaration constamment à
l'esprit, s'efforcent, par l'enseignement et l'éducation, de développer le respect de
ces droits et libertés et d'en assurer, par des mesures progressives d'ordre national
et international, la reconnaissance et l'application universelles et effectives, tant
parmi les populations des Etats Membres eux-mêmes que parmi celles des
territoires placés sous leur juridiction.
La suite laisse place à 32 articles assez humanistes somme toute.
Pour les compiler, rendez-vous sur le site des Nations Unies
Charles B..
COVID-19
L'épidémie de SARS-CoV-2 défraye la chronique depuis début Janvier 2020. Un jour gripette,
le lendemain Pandémie Mondiale, de nombreuses questions émergent dans un contexte halluciné.
Avons-nous été abusé ? Pourquoi la Chine, hier considérée (et à juste titre) comme une dictature par beaucoup, se révele aujourd'hui
comme idéal de l'humanité ? Pourquoi le tiers de la population mondiale se retrouve emprisonné par ses chefs d'état ?
Pourquoi les plus grands spécialistes scientifiques ne sont-ils pas écoutés au détriment de conflits d'intérêts flagrants ?
Pourquoi écoutons-nous simplement sans chercher à comprendre ? Pourquoi mettons-nous des masques pour une grippe
saisonnière sur des suppositions d'algorithmes ? L'humanité serait-elle devenue complètement folle ?
Suivez l'enquête au fil des mois et des révélations non diffusées dans les Médias main stream.
- La guerre des chiffres et des statistiques
- Le dépot du brevet SRAS-CoV en 2010 :EP 1 694 829 B1
- La censure
- Les intérêts
- L'OMS
- L'institut Pasteur et le taux de mortalité
- Le Professeur Raoult
- Les pandemics bonds
- Coronavirus, évaluer les risques.
- Et le masque ?
L'enquête est en cours. Elle sera publiée trés prochainement.
Le 05 Mai 2020.
Le XXIéme siècle apparait comme une nouvelle ère extrêmement dangeureuse où nous serions entourés d'une multitude de nouveaux virus mutants vraiment trés dangereux.
Il suffit de consulter le site de l'OMS pour comprendre à quel point nous sommes en danger et pourquoi nous devrions tous nous enfermer chez nous immédiatement dans des caissons hyperbars et ne plus en bouger à l'instar de ce cher visionnaire qu'était Michael Jackson. Toutefois, le sujet de cet article n'est pas de nous alarmer, mais de nous documenter.
Et la question qui nous vient à l'esprit est : mais d'où proviennent tous ces méchants Virus exterminateurs de l'humanité ?
La récente affaire du Coronavirus nous a mené sur de nombreuses pistes.
Tout d'abord, il faut comprendre que des laboratoires se font la guerre pour nous protéger. Et la France n'est pas trop mal placée dans ce combat.
Si vous avez le temps, vous pourrez consulter ce document que nous mettons à votre disposition.
➔ consulter le document du dépot de brevet SRAS-CoV
Il s'agit du dépot de brevet pour une souche de Virus appelé SRAS-CoV datant
de 2006 (date de publication de la demande).
Ce document fait 320 pages, aussi nous vous avons extrait des morceaux, mais n'hésitez pas à le lire et à nous corriger si nécessaire.
• L'INSTITUT PASTEUR
• CENTRE NATIONAL DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE (CNRS)
• UNIVERSITE PARIS VII
Le document montre les différentes étapes dans l'analyse d'un nouveau virus.
Extraits :
➔ découverte du virus
« [0001] La présente invention est relative à une nouvelle souche de coronavirus associé au syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS), issue d’un prélèvement répertorié sous le n° 031589 et prélevé à Hanoi (Vietnam),
[0012] Une épidémie de pneumonie atypique, dénommée syndrome respiratoire aigu sévère (SARS ou Severe acute respiratory syndrome, SRAS en français) s’est propagée dans différents pays (Vietnam, Hong-Kong, Singapour, Thaïlande et Canada) au cours du premier trimestre 2003, à partir d’un foyer initial apparu en Chine dans le dernier trimestre de 2002. La sévérité de cette maladie est telle que son taux de mortalité est d’environ 3 à 6 %. La détermination de l’agent causatif de cette maladie a été entreprise par de nombreux laboratoires, à travers le monde.
[0013] En mars 2003, un nouveau coronavirus (SARS-CoV, SARS virus ou virus SRAS, en français) a été isolé, en association avec des cas de syndrome respiratoire aigu sévère
[0017] En outre, l’analyse phylogénétique montre que le SARS-CoV est éloigné des autres coronavirus et qu’il est apparu, ni par mutation de coronavirus respiratoires humains, ni par recombinaison entre des coronavirus connus (pour une revue, voir Holmes, J.C.I., 2003, 111, 1605-1609).
➔ analyse du virus
[0028] Les Inventeurs décrivent également un polynucléotide isolé ou purifié, caractérisé en ce que sa séquence hybride dans des conditions de forte stringence avec la séquence du polynucléotide tel que défini ci-dessus.
[0029] Les termes « isolé ou purifié » signifient modifié « par la main de l’homme » à partir de l’état naturel ; autrement dit si un objet existe dans la nature, il est dit isolé ou purifié s’il a été modifié ou extrait de son environnement naturel ou les deux. Par exemple, un polynucléotide ou une protéine/un peptide naturellement présent dans un organisme vivant n’est ni isolé, ni purifié ; en revanche le même polynucléotide ou protéine /peptide séparé des molécules coexistantes dans son environnement naturel, obtenu par clonage, amplification et/ou synthèse chimique est isolé au sens de la présente invention. De plus, un polynucléotide ou une protéine/peptide qui est introduit dans un organisme par transformation, manipulation génétique ou par toute autre méthode, est « isolé » même s’il est présent dans ledit organisme. Le terme purifié tel qu’utilisé dans la présente invention, signifie que les protéines /peptides selon l’invention sont essentiellement libres d’association avec les autres protéines ou polypeptides, comme l’est par exemple le produit purifié de la culture de cellules hôtes recombinantes ou le produit purifié à partir d’une source non-recombinante.
[0032] Les Inventeurs décrivent également un fragment représentatif du polynucléotide tel que défini ci-dessus, caractérisé en ce qu’il est susceptible d’être obtenu, soit par l’utilisation d’enzymes de restriction dont les sites de reconnaissance et de coupure sont présents dans ledit polynucléotide tel que défini ci-dessus, soit par amplification à l’aide d’amorces oligonucléotidiques spécifiques dudit polynucléotide tel que défini ci-dessus, soit par transcription in vitro, soit par synthèse chimique.
➔ mise en place de protocoles de détection
[0045] Les Inventeurs décrivent également une méthode de détection d’un coronavirus associé au SRAS, à partir d’un échantillon biologique, ...
[0048] De préférence, le génome du coronavirus associé au SRAS est détecté et éventuellement quantifié par PCR en temps réel, à l’aide de la paire d’amorces n°2 et des sondes correspondant aux positions 28541 à 28563 et 28565 à 28589 marquées avec des composés différents, notamment des agents fluorescents différents.
[0093] Les Inventeurs décrivent également des réactifs dérivés de la souche isolée de coronavirus associé au SRAS, issue du prélèvement répertorié sous le n° 031589, utiles pour l’étude et le diagnostic de l’infection provoquée par un coronavirus associé au SRAS, lesquels réactifs sont sélectionnés dans le groupe constitué par : (a) une paire d’amorces, une sonde ou une puce à ADN telles que définies ci-dessus, (b) un vecteur recombinant ou une cellule modifiée tels que définis ci-dessus, (c) une protéine ou un peptide tel que défini ci-dessus, (d) un anticorps ou fragment d’anticorps tels que définis ci-dessus, et (e) une puce à protéine telle que définie ci-dessus.
➔ détection à grande échelle
[0126] Les Inventeurs décrivent en outre un kit de détection d’un coronavirus associé au SRAS, caractérisé en ce qu’il comprend au moins un réactif sélectionné dans le groupe constitué par : une paire d’amorces, une sonde, une puce à ADN ou à ARN, un vecteur recombinant, une cellule modifiée, une protéine ou un peptide, un anticorps, et une puce à protéine tels que définis ci-dessus.
➔ élaboration de solutions vaccinales
[0145] Les Inventeurs décrivent une composition immunogène et/ou vaccinale, caractérisée en ce qu’elle comprend un polypeptide ou une protéine recombinante de la famille de la protéine S, telle que définie ci-dessus, obtenu dans un système d’expression eucaryote
Nous voilà rassuré, il semble que les laboratoires connaissent leur travail et ont les choses bien en main.
A suivre ...
Charles B.
Le 16 Juin 2020.
Dans l'actualité du 12 Juin 2020, sur le site de Reporters Sans Frontières, l'ONG internationale connue pour défendre la liberté de la presse à travers le monde, nous pouvons lire en gros titre:
Covid-19 et lois d’exception : une pandémie dévastatrice pour la liberté de la presse.
Le Covid-19 déclaré pandémie le 11 mars dernier par l'Organisation mondiale de la Santé (OMS), s’est propagé à l’ensemble de la planète où il a servi de prétexte à de nombreux gouvernements pour mettre entre parenthèses des garanties constitutionnelles. A l’heure où une relative accalmie semble envisageable, une nouvelle urgence s’impose : ces mesures d’exception doivent être levées.
➔ Découvrez l'article dans son intégralité
Notons que la France n'apparait pas dans les pays mentionnés par cet article. Toutefois, nous pouvons nous poser la question, en regard de l'article publié par le Syndicat National du Journalisme (SNJ), sur la position de la France en matière de liberté de la presse et d'information lors de la crise du COVID-19 (voir l'enquête sur la liberté de la presse ci-dessus).
L'enquête est en cours. Elle sera publiée trés prochainement.
L'enquête est en cours. Elle sera publiée trés prochainement.
Le 22 Avril 2020.
"Comme d’autres pays européens, la France paie un lourd tribut à l’épidémie de Covid-19 avec plus de 19 000 morts
au 19 avril 2020. Le 17 mars, le gouvernement français a instauré le confinement pour tenter de stopper la propagation
du virus et éviter une saturation des services de réanimation."
Voilà comment commence le dernier communiqué de presse le l'institut Pasteur, ce mardi 21 Avril 2020.
S'en suit tout un laïus sur la nécessité d'expliquer tout ce qui nous arrive à l'aide de "modélisations mathématiques et statistiques".
... Trés bien !
Nous relevons ensuite:
"Le taux de mortalité chez les personnes infectées est de l’ordre 0,5%."
Voilà, qui est intéressant, il apparait donc aujourd'hui que le taux de mortalité est révisé à la baisse.
Nous pourrions donc nous attendre à voir refleurir le printemps.
Nous voyons dans cette étude que l'effet du confinement a eu un impact fabuleux sur la transmission du virus,
chose qu'il est somme toute évident de comprendre. Cependant, il y a un revers à la médaille, le "niveau d'immunité" de la population,
que l'on pourrait considérer comme naturel, c'est à dire qui se met en place tous les ans depuis trés trés longtemps, lui a stagné.
L'institut Pasteur nous annonce donc dors et déjà, que le confinement, et bien, ce n'est pas fini pour demain ! Ni pour le 11 mai, puisquil faudrait
selon cette étude, une immunité de 70% de la population et que le confinement a provoqué une immunité de seulement 6% de la population.
Je vous invite à aller vous-même consulter ce point presse, mais avant celà, considérons une chose : les chiffres annoncés.
Faisons ensemble un petit calcul mathématique, cher aux statisticiens.
Si on considère que 6% de la population a été infectée, nous avons donc:
(67 064 000 × 6) ÷ 100 = 4 023 840 personnes infectées.
Considérons ensuite le taux de mortalité, soit 0,5% de ces 4 023 840 personnes :
(4 023 840 × 0.5) ÷ 100 = 20 119
Nous retrouvons donc le bon chiffre, à savoir: 20 119 personnes décées du SRAS-Cov2 à ce jour.
Nous pouvons donc considérer que ces chiffres sont exactes puisqu'ils correspondent à la mortalité annoncée et déclarée par la France à l'OMS.
Si nous suivons cette logique, l'institut Pasteur préconise de maintenir tout le monde en confinement afin de permettre une "immunité de 70%".
Sachant que le taux de mortalité est de 0.5% (un taux est un rapport donc il ne bouge pas suivant le nombre de personnes), nous pouvons
considérer ce taux de mortalité de 0.5% dans les 70% de la population qui serait alors contaminé, soit:
(67 064 000 × 70) ÷ 100 = 46 944 800 personnes contaminées.
Considérons maintenant le taux de mortalité pour calculer le nombre de morts prévu par la méthode Française:
(46 944 800 × 0.5) ÷ 100 = 234 724 personnes décédées à la fin de l"épidémie.
Espérons que ceci ne soit qu'une projection mathématique statisticienne, car celà voudrait dire que même avec confinement, à la fin de l'épidémie,
nous aurions une hécatombe en France.
Celà est tout à fait probable si nous nous en tenions aux prévisions de l'OMS lors de l'arrivée de l'épidémie qui prévoyait des millions de morts aux Etats-Unis.
(sources).
Or, il s'avère que malgré tout, certains avis divergent. Et pas des moindres. Le premier qui vient à l'esprit est biensûr l'étude du Professeur Raoult de l'iHU
de Marseille.
Charles B.
Le 4 Juin 2020.
En retournant ce jour sur le lien que je vous avais indiqué precedemment, je constate des modifications du texte avec redirection de l'ancienne adresse vers une nouvelle.
Ce nouveau texte précise une erreur qui a été commise, mais les auteurs (l'Institut Pasteur) soutiennent toujours la théorie de l'immunité collective :
"Ce niveau d’immunité est donc très inférieur au niveau nécessaire pour éviter une seconde vague si toutes les mesures de contrôle devaient être levées.
En effet, l’immunité collective nécessaire est actuellement estimée à 66%. Par conséquent, des efforts importants devront être maintenus au-delà du
11 mai pour éviter une reprise de l’épidémie."
Rappelons que nous sommes aujourd'hui bien en dessous de leurs projections de décés prévus plus d'un mois aprés, que la théorie de l'immunité collective est décriée par nombres de médecins et chercheurs à travers le monde, notamment le professeur Raoult.
Nous nous posons aujourd'hui la question, pourquoi l'Institut Pasteur persiste dans ces théories sans tenir compte des différentes recherches (et résultats de ces recherches) ? Pourquoi l'Institut Pasteur attend toujours une deuxième vague en jouant le jeu de la peur nationale ?
Charles B.
Le 7 Mai 2020.
Comme d'habitude, les médias traditionnels ne communiquent pas réellement sur le professeur Raoult et le diabolisent en semant le doute. Au vu du dernier reportage de BFMTV sur l'individu, nous sommes en droit de nous poser la question :« Qui est l'intriguant professeur Raoult ? »
Aprés trés peu de recherches, il est trés facile de savoir qui cet Homme est réellement. Vous trouverez sur internet des centaines de publications, des centaines d'articles dans nombres de revues scientifiques qui vous confirmeront le sérieux du bonhomme.:
Avant toute chose, il dirige l’Institut Hospitalo-Universitaire Méditerranée infection à Marseille (IHU de Marseille) et n'est pas intriguant du tout.
Suite à la chasse aux sorcières qui s'acharne contre cet éminent chercheur, l'IHU re-publie ceci dans un communiqué de presse le 11 Mai 2017 :
LE PR DIDIER RAOULT EST LE CHERCHEUR EUROPÉEN DONT LES PUBLICATIONS ONT ÉTÉ LES PLUS CITÉS PAR LA COMMUNAUTÉ SCIENTIFIQUE INTERNATIONALE DANS LE DOMAINE DES MALADIES INFECTIEUSES
« Le Pr Didier Raoult (Aix-Marseille Université), directeur de l’Institut Hospitalo-Universitaire Méditerranée infection à Marseille, figure en première position des
chercheurs européens dont les publications ont été les plus cités par la communauté scientifique internationale dans le domaine des Maladies Infectieuses. Ce classement
a été établit en février 2017 sur la base de l’analyse du nombre de citation de publications parues dans des revues de Microbiologie scientifiquement reconnues durant une
période de 7 ans entre 2007 et 2013. Le Pr Raoult a publié 636 articles entre 2007 et 2013 et ces articles ont été cités 18,128 fois par les scientifiques de la
communauté internationale. Cette liste a été établit d’après la base de donnée Clarivate Analytics (anciennement Thomson Reuters), qui recense les chercheurs les
plus influents du monde en science et science sociale et SCIMago qui est une mesure de l’influence scientifique des revues savantes.
Ingrid B.
Le 2 Juin 2020.
D'aprés le professeur Raoult, l'épidémie est bel et bien terminée et il n'y aura pas de deuxième vague.
Des questions restent posées :
- Pourquoi ne lève-t-on pas l'état d'urgence sanitaire ?
- Pourquoi les gens ont-ils toujours des masques ?
- Pourquoi l'école souffre-t-elle toujours de protocoles abracadabrants et hétéroclites ?
Ingrid B.
Le 29 Mai 2020.
La Banque Mondiale crée en Juillet 2017 un nouvel outil financier qui consiste à lever des fonds auprès d'investisseurs privés afin de pouvoir ensuite disposer rapidement d'importants moyens financiers pour déployer une aide sanitaire dans les plus brefs délais en cas d'épidémie.
Charles B.
Le 16 Juin 2020.
https://swprs.org/coronavirus-un-medecin-suisse-parle/#latest
Le 13 Janvier 2021.
Comme tous les ans, le concours Lépine nous propose son lot d'inventions extraordinaires. Mais celle qui supplante toutes les autres est passée inaperçue aux yeux des juges. Et pourtant, cette invention miraculeuse est aujourd'hui vendue dans le monde entier. Nous avons le plaisir de vous présenter en avant première,
« Le masque-diode »
Le coronavirus de 2019 faisant des ravages terribles au sein des populations atteintes de vieillesse et de maladies incurables, le gouvernement, dans sa grande mansuétude, nous à imposé de porter... des masques de papier.
Mais voilà, très rapidement, aprés que le gouvernement français ait semé le doute dans l'esprit de tout le monde (un coup oui, un coup non !), certains professionnels de santé s'interrogent trés rapidement sur l'utilité de ces masques. Une pharmacienne nous fait parvenir les notices d'utilisation des masques FFP1 et FFP2 préconisés par le gouvernement. A notre grande surprise, il est écrit noir sur blanc que des masque de ce type sont totalement ineficaces contre une pandémie virale.
1. Le masque n'est pas efficace contre les virus.
2. Le masque n'est pas fait pour une utilisation prolongée.
3. Le non-respect des consignes risque d'affecter la santé de l'utilisateur du masque.
Il apparait donc trés rapidement une nouvelle façon de penser transmise par les médias,
« Protéger les autres »
Voilà la défense imparable, le masque n'est pas fait pour vous protéger, mais pour protéger les autres. Entendez « les autres » par « les personnes vulnérables ». Et voici encore une nouvelle syntaxe covidienne-quotidienne, les personnes vulnérables sont... toutes les personnes qui se sentent fragiles ?!? Car derrière l'absence de définition d'une nouvelle expression, chacun en imagine un sens.
Un peu d'électronique :
La diode est un composant électronique qui ne laisse passer le courant que dans un sens. Elle est trés utilisée dans
tous les appareils qui nous entourent, c'est un élément primordial de l'électronique.
Et bien voilà, vous ne le saviez pas, mais les masques possèdent des diodes anti-virus. Ils passent dans un sens,
mais pas dans l'autre...
Il est donc dorénavant trés difficile d'affirmer qu'un masque type FFP1, FFP2 ou en tissu, ne protège pas, car celui qui oserait voudrait sûrement nuir à autrui.
Charles B.
Elections municipales : le débat dans la démocratie
Aprés avoir spolié le deuxième tour des élections municipales contre toute attente et en deça des
règles de la constitution, le gouvernement n'écoute toujours pas ses citoyens.
Une question légitime se pose, le débat comme démarche intellectuelle dans notre démocratie
est-il un outil satisfaisant ?

L'effacement de la dette en FRANCE: possibilité ou mythe ?
En 1999, un tribunal populaire constitué de l'ensemble des acteurs du Brésil opte en la faveur
de l'effacement pur et simple de la dette du pays, jugée illégitime. L'histoire nous démontre que
depuis 1868, au moins 8 fois de par le monde, des dettes d'états ont été annulées...
- La dette Brésilienne
- La dette Française
Le 23 Avril 2020.
Lorsque j'avais 22 ans, au détour d'un anniversaire, je croisais les parents d'une collègue de faculté. Encore jeunes, sportifs, dynamiques et l'esprit alerte, ils me firent découvrir ce jour là un trésor méconnu: un livre intitulé "La Dette", d'un certain Maurice Lemoine.Maurice Lemoine a été rédacteur en chef de La Chronique d'Amnesty International de 1993 à 1996, puis est entré comme rédacteur en chef au sein du journal Le Monde diplomatique.
https://www.monde-diplomatique.fr/2001/05/CHAO/1735
Maurice Lemoine nous livre donc dans ce récit (que je vous conseille vivement de lire), les raisons de l'endettement du Brésil, notamment l'influence du Fond Monétaire International (FMI) dans les prises de décisions d'un gouvernement. Cette base de connaissances est non seulement trés intéressante, mais aussi nécessaire à la compréhension de ce qui va suivre le 28 avril 1999: la demande expresse de l'effacement de la dette du Brésil.
Verdict du Tribunal brésilien de la dette extérieure :
Le Tribunal de la dette extérieure s’est réuni du 26 au 28 avril 1999, au Théâtre João Caetano à Rio de Janeiro, Brésil, lieu où Tiradentes, héros et martyr de l’indépendance, a été pendu.
1200 personnes de tout le Brésil et d’autres pays du monde y ont participé.
Promu par la CNBB (Conférence nationale des Evêques du Brésil), CARITAS, CONIC (Conseil National d’Eglises Chrétiennes), CESE (Coordination Oecuménique de Services) , CMP (Centrale de Mouvements Populaires), MST (Mouvement des Travailleurs Ruraux sans Terre), et IAB (Institut des Avocats Brésiliens), avec l’appui du CORECON/RJ, SENGE/RJ, SINDECON/RJ, IERJ, Koinonia et PACS, le Tribunal a eu comme but de juger le cas brésilien de la dette extérieure et de renforcer la Campagne du Jubilée 2000 en faveur de l’annulation de la dette des pays les plus pauvres et les plus endettés.
L’objectif du Tribunal a été de cerner le rapport entre la dette extérieure et la situation d’injustice et de misère que vit le Brésil : en effet, malgré le fait que ce pays, ainsi que quelques autres pays d’Amérique Latine et des Caraïbes, est un des pays de revenu moyen et considéré émergeant, il possède l’un des pires profils de distribution de revenu du monde, avec un quart de sa population - 40 millions de personnes - en dessous du minimum vital. Le Tribunal s’est non seulement appliqué à cerner les facteurs qui sont à l’origine, forment et agrandissent de façon gigantesque la dette extérieure ainsi que leurs responsables, mais s’est également efforcé de définir des politiques alternatives et des stratégies pour vaincre de façon soutenable la crise de l’endettement extérieur et ses conséquences sociales et sur l’environnement. Après avoir pris connaissance du matériel documentaire abondant, entendu des témoignages et des discours de spécialistes brésiliens et d’autres pays lors des quatre sessions - sur le système financier international, sur l’endettement extérieur, sur des cas exemplaires d’endettement d’autres pays, et sur des perspectives d’action pour affronter et vaincre la crise de l’endettement brésilien, le Tribunal populaire, composé de représentants de plusieurs secteurs de la société brésilienne, est arrivé au verdict suivant :
CONSIDERANT :
1. QUE, d’après les études et les données présentées au Tribunal, la dette des pays les plus pauvres et les plus endettés a déjà été payée, et que sous la forme
comptable actuelle, elle est impayable ;
2. QUE la dette brésilienne, à partir de la dernière renégociation il y a cinq ans, a augmenté de US$ 148 milliards à la fin 1994 à US$ 235 milliards en novembre
1998, et qu’environ US$ 126 milliards ont été payés dans la période aux créanciers extérieurs, ce qui indique une vitesse d’endettement insoutenable, a un point tel que
presque tous les nouveaux contrats sont destinés au service de la dette elle-même, créant ainsi un cercle vicieux d’endettement ;
3. QUE la décision unilatérale des Etats-Unis d’Amérique à la fin des années 70 d’augmenter le taux d’intérêts en passant du niveau historique de 4 à 6 % à plus
de 20 % en quelques mois représente une trahison de la bonne foi des contrats, qu’en plus d’avoir forcé les pays débiteurs à faire des emprunts pour payer les intérêts,
entraîna un payement additionnel équivalant à la perte de US$ 106 milliards pour l’Amérique Latine ;
4. QUE l’imposition de la part des créanciers d’une taxe de risque aux débiteurs afin de prévenir toute insolvabilité possible donne le droit à ces derniers de
se déclarer insolvables sans nous ;
5. QUE des gouvernements alliés à de grandes entreprises et à des banques endettées à l’étranger ont provoqué l’étatisation de la dette extérieure privée,
socialisant ainsi les coûts et engageant encore plus les fonds publics au payement de la dette extérieure ;
6. QUE des entreprises publiques stratégiques ont été utilisées comme instrument de surendettement, mettant ainsi en risque leur santé financière et leur
capacité d’investissement, servant ainsi de prétexte à leur privatisation postérieure ;
7. QU’IL existe un lien explicite entre la dette extérieure, l’endettement public intérieur excessif, et la recherche de capital extérieur à court terme,
ce qui soumet le pays à une politique de très hauts taux d’intérêts ;
8. QUE le gouvernement, dans sa conception du système financier comme un absolu, a sacrifié une partie de son budget destiné à des dépenses sociales et
de dynamisation de l’économie intérieure pour maintenir à jour le payement des dettes financières, ce qui a résulté en abandon de la santé, de l’éducation, des politiques
d’emploi, d’habitation populaire, de démarcation et de garantie des terres indigènes et de leur condition de survie en tant que peuples, de la mise en valeur des personnes âgées et des enfants, de la réalisation de la réforme agraire, de la conservation et de la récupération de l’environnement ;
9. QUE les politiques économiques et d’ajustement du FMI se sont révélées désastreuses pour les pays qui s’y soumettent, et font augmenter encore plus
la dette et les autres passifs extérieurs de ces pays, formant ainsi un moratoire sans fin des dettes sociales et de l’environnement, dont les créanciers sont les enfants,
les femmes et les hommes travailleurs ruraux et urbains, les noirs, les peuples indigènes et la nature ;
10. QUE les Etats-Unis d’Amérique manipulent l’ONU, l’OMC, le FMI, la Banque Mondiale et l’OTAN en fonction de leur stratégie d’hégémonie et de contrôle des
peuples de la terre ;
11. QUE l’endettement public brésilien a toujours favorisé les intérêts et les privilèges des élites dominantes ;
12. QUE l’endettement brésilien excessif a été créé surtout lors des trois dernières décades, marquées par 21 ans de dictature, et par une transition vers
des gouvernements civils qui ont complété la capitulation complice de la politique économique au capital financier ;
13. QUE cet endettement a été créé par des gouvernements dictatoriaux, donc illégitimes et anti-populaires, et que les créanciers de ces gouvernements,
en plus d’être leurs complices, étaient au courant des risques qu’impliquaient ces prêts ;
14. QUE l’expansion de la dette est liée aux élites brésiliennes qui, dans toute l’histoire et actuellement, ont été complices avec les institutions
financières de l’étranger, privées, officielles et multilatérales ;
15. QUE la dette extérieure représente une violation continue du Pacte International sur les Droits Économiques, Sociaux et Culturels,
fixé par l’ONU le 16/12/66, qui exige la reconnaissance du droit de chaque nation à l’autodétermination, au développement économique ainsi qu’au libre emploi de
ses richesses et de ses ressources naturelles ; et qu’en aucun cas un peuple ne pourra être privé de ces propres moyens de subsistance ;
La dette extérieure brésilienne, ayant été contractée hors des limites légales nationales et internationales, et sans l’avis de la société, ayant favorisé presque exclusivement les élites au détriment de la majorité de la population, et portant atteinte à la souveraineté nationale, est injuste et insoutenable éthiquement, juridiquement et politiquement. En termes substantifs, elle a déjà été payée, et elle ne persiste que comme mécanisme de soumission et de mise en esclavage de la société au pouvoir financier de l’usure et de la globalisation du capital, et du transfert de richesses vers les créanciers.
Ceci dit, le Tribunal condamne le processus d’endettement brésilien, qui implique la subordination aux intérêts du capital financier international et des pays riches, appuyés par les organismes multilatéraux, comme injuste et illégitime.
Il rend les élites dominantes responsables de l’endettement excessif et d’avoir renoncé à un projet national de développement pour le Brésil.
Il rend les gouvernements et les politiciens responsables parce qu’ils appuient et promeuvent le projet d’insertion subordonnée du Brésil à l’économie globalisée.
Il rend responsables les économistes, juristes, artistes et intellectuels qui leur fournissent les bases techniques et idéologiques.
Il rend responsable la dictature des grands moyens de communication, qui vise à légitimer la dette et bloque les débats ayant trait aux alternatives.
Il décide également de communiquer cette décision aux autorités législatives, exécutifs et judiciaires du gouvernement fédéral, des Etats et des municipalités, afin qu’elle soit respectée, de par la légitimité de la structure et de la fonction sociale de ce Tribunal. En assumant l’espoir présent dans les luttes populaires pour des alternatives de vie, de rapports sociaux et d’organisation de l’économie et de la société, le Tribunal propose à tous les Brésiliens et Brésiliennes les engagements et les stratégies d’action suivants :
* Pour l’union de tous les peuples en faveur de l’effacement général et sans restrictions des dettes extérieures des pays pauvres les plus endettés, et de la dévolution des richesses qui leur ont été pillées sans imposition d’autres conditions sauf celle de l’investissement des ressources économisées dans le sauvetage des dettes sociales, sous le contrôle de la société, et dans le respect des droits de l’homme de tous les citoyens.
* Pour l’audit de la dette publique extérieure et de tout le processus de l’endettement brésilien, avec la participation active de la société civile, ceci afin de vérifier financièrement et juridiquement s’il existe encore une dette à payer, qui doit la payer, et d’établir des normes démocratiques de contrôle de l’endettement.
* Pour un moratoire souverain, pour la fin de l’accord avec le FMI et pour la redéfinition des dettes basée sur le résultat de l’audit, et sur l’affirmation de la souveraineté nationale.
* Pour une politique de développement centrée sur les droits de la personne et de la société, basée principalement sur les ressources matérielles et humaines du pays, dépassant la logique et l’endettement irresponsable en vigueur actuellement.
* Pour le contrôle ferme du change, qui permette aux gouvernement de freiner la spéculation et restimuler l’investissement productif, avec des mécanismes efficaces de contrôle de toute sorte d’entrée et de sortie illégale de monnaies (nationale et étrangères) et de marchandises en général.
* Pour la renationalisation et la démocratisation des entreprises stratégiques.
* Pour la renégociation des dettes des Etats et des municipalités, en utilisant les ressources économisées pour payer les dettes sociales et de l’environnement, et en refaisant le pacte fédéral dans une perspective démocratique et participative.
* Pour le renfort des mobilisations et des campagnes comme ATTAC, qui exigent la création de mécanismes de règlement et de taxation de la circulation du capital international spéculatif, pour créer un fonds destiné au retour à une vie digne pour les plus pauvres.
* Pour l’union des peuples d’Amérique Latine et des Caraïbes autour de politiques alternatives et de stratégies communes au Continent, dans le but d’affronter ensemble le cercle vicieux de l’endettement et les autres facteurs d’appauvrissement et subordination qui affligent tout le continent.
* Pour la participation de la Campagne Jubilé 2000, du Conseil œcuménique d’Eglises et d’autres institutions nationales et internationales dans une mobilisation qui amène les états démocratiques à proposer à l’Assemblée Générale de l’ONU une action auprès du Tribunal International de la Haye pour juger les processus qui ont donné naissance à, et ont hypertrophié, la dette extérieure des pays pauvres et hautement endettés et leurs responsables.
Ce Tribunal est le symbole d’une longue marche. Il appelle les Brésiliens et Brésiliennes à participer avec espoir et sans peur aux initiatives qui en découleront, debout dans les rues et sur les places, jusqu’à ce que le Brésil soit vraiment une patrie pour tous, et que tous aient de dignes conditions de vie et une pleine réalisation de la citoyenneté. Telle est notre décision. Qu’elle soit publiée et divulguée. On n’autorise sa suscription qu’à toutes les femmes et hommes de bien.
Echafaud de Tiradentes, 28 avril 1999.
Trinidad G.
L'enquête est en cours. Elle sera publiée trés prochainement.
Les gilets jaunes
Depuis Octobre 2018, le mouvement de contestation massif des Gilets jaunes s'est ababttue sur le
gouvernement Macron. Dans les médias, une place de choix leur a été accordé, mais pas forcément à leur avantage. La vérité,
souvent biaisée et détournée à facilité l'étouffement du mouvement, mais pas son extinction.
- Les revendications
- En chiffres !
- Les médias français.
- Les médias, vue de l'étranger.
L'enquête est en cours. Elle sera publiée trés prochainement.
L'enquête est en cours. Elle sera publiée trés prochainement.
L'enquête est en cours. Elle sera publiée trés prochainement.
La couverture médiatique de l'évènement par les autres pays permet d'avoir une meilleur vision de ce qui s'est réèllement passé. L'acte journalistique n'est pas annodin, et le reportage qu'il en résulte est souvent orienté. Voici pour commencer un reportage de la HBO américaine, une des grande chaine des Etats Unis. Autant dire que si les médias français avaient fait de tels reportages au 20H, il y aurait eu 100 fois plus de monde dans la rue...
Le prêt de main d'oeuvre CCI
La Chambre de Commerce et d'Industrie, grand pourvoyeur d'aides aux entreprises, offrent depuis
quelques temps un drôle de service pour faciliter la survie des entrprises atteintes par la dure réalité
de la destruction imminente
de l'économie du pays. Les coopératives avaient inventé la mise en commun
de machines outils. Aujourd'hui l'Humain devient objet.

le pacte de marrakech
Passé innaperçu en coup de vent, le pacte de Marrakech, fort de son énorme livret, a découragé
plus d'un journaliste. Combien de personnes ont réellement lu le contenu de l'accord signé ce jour là.
Nous l'avons fait pour vous,
et ce que nous avons lu parait beaucoup plus important qu'il ne l'a été
annoncé.

Internet et la sécurité de vos données
Microsoft, Google, Facebook, Apple, autant de géants de l'informatiques qui vous
promettent
garanties et sécurité à travers internet... et bien plus encore. Un spécialiste des réseaux informatiques,
hacker spécialiste en sécurité vous explique quels sont les vrais risques lorsque vous allumez votre
ordinateur.

Media : Le vrai du faut du vrai du faut du vrai du faut du vrai du faut....
Quel est la responsabilité des médias dans la vie de tous les jours, dans nos comportements,
dans les prises de décision de l'état, des entreprises, de la bourse, de l'évolution du monde...
Le mot à la mode est "fakes news", mais le rôle des médias est-il d'affirmer des vérités ou de présenter
des faits ?

LIENS A CONSULTER
Covidinfos.net ➔
(Toute la vérité sur le Covid19, des Médecins parlent.)
IHU Méditerranée Infection ➔
(L'info régulière du Pr Raoult et plus encore.)
DERNIERS ARTICLES
Sauvegarder la République ➔
(Cent ans de lutte.)
L'institut Pasteur ➔
(Trucage ou réalité ?.)
La dette : mythe ou réalité ? ➔
(Regard sur la dette Brésilienne.)
LIVRES A LIRE
« La Dette (Roman de la paysannerie brésilienne) »
de Maurice Lemoine.
Editions l’Atalante, Nantes, coll. « Comme un accordéon », 2001, 383 pages
« Mémoires Vives »
de Edward Snowden.
Editions du Seuil, 2019, 379 pages